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La stratégie Ender selon Harrison Ford
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Harrison Ford | Photo AFP
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31-10-2013 | 06h07
Dernière mise à jour: 31-10-2013 | 06h09
Plus de trente ans après La guerre des étoiles, Harrison Ford retrouve l'espace intersidéral avec La stratégie Ender, une réflexion sur «la guerre et les relations entre jeunes et adultes» qui a «séduit» l'acteur, toujours aussi actif à 71 ans.
La stratégie Ender, qui sort vendredi sur les écrans nord-américains est adapté d'un roman à succès de l'Américain Orson Scott Card et a été réalisé par le cinéaste sud-africain Gavin Hood (Tsotsi, X-Men Origins: Wolverine...).
Harrison Ford y campe le colonel Graff, un instructeur chargé de préparer et entraîner un groupe d'enfants et adolescents triés sur le volet, à qui reviendra la lourde tâche de diriger les forces armées pour protéger la Terre d'une énième invasion extra-terrestre.
Dans ce monde futuriste où l'humanité confie son salut à des adolescents, le plus doué est le timide Ender (Asa Butterfield, le jeune héros de Hugo Cabret), un surdoué de la stratégie et tactique militaire, destiné à prendre le commandement de l'armée.
Entre vaisseau spatial et scènes en apesanteur dans une bulle transparente où les jeunes recrues simulent leurs batailles intergalactiques, Harrison Ford retrouve la science-fiction, qu'il avait délaissée depuis La guerre des étoiles, si l'on excepte l'étrange Cowboys & envahisseurs (2011)
Et la science-fiction a bien changé depuis la saga de George Lucas, comme l'a rappelé l'acteur lors d'une conférence de presse à Beverly Hills.
«Quand on faisait <ì>La guerre des étoiles, on fabriquait les vaisseaux avec des bouts des voitures, de trains et de bateaux en plastique qu'on collait ensemble, et on les faisait passer devant la caméra au bout d'un bâton. Et ça marchait. C'était bien. Avec un peu de musique on croyait vraiment qu'un gros vaisseau spatial passait au-dessus de nos têtes», dit-il.
Les effets spéciaux par ordinateur ont changé la donne et l'acteur met en garde contre leur abus. «Souvent, j'ai l'impression qu'on perd le contact avec le côté humain du personnage, ce qu'il peut ressentir, alors que c'est le plus important», estime-t-il.
Plus actif que jamais
À 71 ans, l'acteur est plus actif que jamais, avec trois autres films sur les écrans cette année: 42, Paranoia et Légendes vivantes. «J'aime tout simplement le fait de donner vie à quelque chose d'écrit sur une feuille de papier», dit-il.
«J'aime le processus collaboratif dans la fabrication d'un film, ce qui revient à dire que j'adore mon travail et que je chercherai toujours des rôles potentiellement attirants et populaires», ajoute l'inoubliable Indiana Jones, tout en réfutant son statut d'«icône».
«Une icône, pour moi, ça ne veut rien dire. Je pense que cela a à voir avec l'énorme succès de certains de mes films, mais il n'y a aucun intérêt à être une icône. Je ne sais pas ce que fait une icône à part être accrochée dans un coin et susciter l'attention de tout le monde», ironise-t-il.
Équilibrer la violence
Le thème de la violence, intrinsèque au livre, n'a pas été éludé par le réalisateur. «Je voulais que la violence ait l'air réelle sans être complaisante», explique Gavin Hood à l'AFP.
«J'espère avoir trouvé le bon équilibre. Je devais montrer (Ender) aller trop loin (...) car l'histoire est justement sur son combat intérieur contre ses instincts violents», dit-il.
En préparant les jeunes recrues au combat à travers des jeux vidéo ultra-sophistiqués, le livre, publié en 1985, était visionnaire, remarque le cinéaste. «Il a anticipé la façon dont les jeux sont devenus semblables à la guerre, et la guerre semblable à un jeu vidéo, ce qui est assez effrayant», dit-il.
La jeune Hailee Steinfeld, nommée en 2011 à l'Oscar de la meilleure actrice pour True Grit des frères Coen, et qui joue Petra, la meilleure amie d'Ender, réfute quant à elle le terme de violence.
«Je pense surtout que le niveau d'intensité est très fort», déclare-t-elle à l'AFP. «Ces gamins sont entraînés pour lutter contre une invasion. Mais je ne crois pas que l'intention de Gavin ou de quiconque ait été de rendre les choses violentes».
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