samedi 1 juillet 2017
AU COEUR DES FÖRETS DE CHRISTIAN SIGNOL
Chapitre 1
Je n'avais pas cinq ans, le jour ou j'ai entendu pour la premiére fois mon parler aux arbres.
Ce devait étre à la fin de l'étè, quand se couvre de ces couleurs les plus chaudes. de l'or au brun, et de la rouille au vermillon, qui sont ces ordinairesparurent d'avant l'hiver.l'oraage arrivait et les grandes feuilles se balançerent en gémissant, comme pour appeller l'homme à leur secours leur boule formidable me déporter sur leur chemin qui sinuait entre les fougéres.
me pousaant aux épaule me projetant d'un côté et de l'autre.comme sous le poigne térrible de l'ogre aus bottes de sept lieux.
J es entaios sa présence dans mon dos et j'avançais de toutes les force de mes petites jambes.
en me demandant, si je n'allais pas étre emporter loin des miens pour toujours.
La nuit tombée trainait par nnuages aux ventre d'ardoise.
Mais au lieu de hâter vers nôtre maison.
Mon pére s'était arrétait sous les couverts du hétre gigantesque.
Il avait pris ma main et avait-dit.
Voila le paragraphe.
Inscription à :
Publier les commentaires
(
Atom
)
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire