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jeudi 28 novembre 2013

Europe 1 Le JDD PARIS MATCH Le LAB E1 Inscrivez-vous Connectez-vous recherchez sur Parismatch Abonnez-vous abonnez-vous retrouvez Parismatch sur Youtube retrouvez Parismatch sur Twitter retrouvez Parismatch sur Facebook retrouvez Parismatch sur Google plus Paris Match Europe1 Accueil Actu People Royal Blog Culture Cinéma Livres Musique Spectacles Art Cannes Festival de Deauville Festival de Marrakech L'Instant Photos Vivre Services Culture > Cinéma > "Star Wars 7, Indiana Jones 5? Je ne me l’interdis pas” Harrison Ford "Star Wars 7, Indiana Jones 5? Je ne me l’interdis pas” "Star Wars 7, Indiana Jones 5? Je ne me l’interdis pas” Dans « La stratégie Ender », l’acteur renoue avec le film de science-fiction à gros budget. Mais il se prépare surtout à retrouver ses costumes mythiques d’Indiana Jones et de Han Solo. © Patrick Fouque Le 05 novembre 2013 | Mise à jour le 05 novembre 2013 Par Un entretien avec Christine Haas Rien ne prépare à une rencontre avec Harrison Ford. On se dit qu’on va croiser le fer avec un séducteur goguenard, réputé pour son caractère ronchon. On voit débarquer un type cool surnommé « Harry », heureux d’être devenu roi de la prairie dans son ranch du Wyoming, après avoir tenu un rôle majeur dans des films comme la saga « Indiana Jones », « Blade Runner » « Witness », « Jeux de guerre », « Le fugitif » et « Air Force One » qui ont engendré mondialement près de 6 milliards de dollars. Le costume sombre indique qu’il a eu la courtoisie de se mettre beau. Les chaussettes rouges rappellent qu’il a le sens de l’humour. A 71 ans, avec son regard qui frise, sa petite boucle d’oreille et son physique affûté de joueur de tennis, celui qui a été consacré « star du siècle du box-office » en 1994 tourne désormais à un rythme moins effréné, mais n’a pas vraiment l’air d’un papy prêt à raccrocher. Paris Match. Dans ce film, Asa Butterfield (qui jouait dans “Hugo Cabret”) incarne celui qui saura s’opposer aux extraterrestres. Etait-il intimidé par vous ? Harrison Ford. Je ne vois pas pourquoi. C’est un jeune acteur subtil, doté d’une remarquable intégrité et poussé par un instinct authentique qui m’a beaucoup ­impressionné. Mais Gavin Hood, le réalisateur, souhaitait que je reste à distance des jeunes acteurs que je suis censé commander, donc j’ai fait ce qu’on m’a demandé. C’est mon personnage qui est intimidant, pas moi. Depuis votre apparition dans “Star Wars” en 1977, la technique a progressé, mais a-t-elle amélioré la qualité des films de science-fiction ? Il y a une tendance à surcharger l’image : trop de monde, trop d’effets spéciaux, trop de truquages extra­sensoriels. On perd la notion d’échelle humaine. Il est important que le cinéma n’oublie pas que nous sommes des êtres humains : on vit au jour le jour, on dort, on se lève, on défèque, on va chez le médecin, on meurt. Notre boulot est de créer un lien avec le public à travers un langage émotionnel. Or, quand un ordinateur commande les ­déplacements d’un millier de navettes spatiales, cela nous dépasse et on n’arrive plus à identifier une réalité. Vous dites que vous êtes “le serviteur d’une histoire”… Je dis les mots tels qu’ils sont dans le scénario. ­J’accepte les instructions du réalisateur et je travaille avec mes partenaires sans chercher à me mettre dans la lumière. Vous aimez improviser ? Pas trop. Je m’amuse pendant les répétitions. Mais une fois le moteur lancé, tout est programmé. Et il y a 250 personnes sur le plateau. On parle d’un cinquième Indiana Jones, d’un ­septième épisode pour Han Solo dans “Star Wars”. Ils figurent au Top 50 des plus grands héros du cinéma. Pensez-vous que certains fans refusent de les voir vieillir ? Certains aimeraient que le temps s’arrête et qu’on ne touche pas à ces héros historiques. Doivent-ils continuer d’exister ? A-t-on vraiment envie de les retrouver ­aujourd’hui ? Je comprends tous les points de vue, mais moi j’y suis addict ! Si un projet est ambitieux, si les personnes impliquées me semblent talentueuses, il y a de grandes chances pour que je succombe à la tentation. Est-ce que ça signifie que vous allez tourner les deux sagas ? Non ! Ça veut juste dire que je ne me l’interdis pas. "Pourquoi ce crétin porte une veste en cuir dans la jungle?" Le costume de Han Solo vieillit moins bien que celui d’Indiana Jones qui semble indémodable… Oui, j’aime bien son look. Même si je n’ai jamais ­compris pourquoi ce crétin porte une veste en cuir et un chapeau de feutre pour courir dans la jungle. Vous avez laissé votre marque dans l’histoire du cinéma. Est-ce que vous voyez de jeunes acteurs vous imiter ? Cela me semblerait être une très mauvaise idée. Quand j’ai débuté, j’ai tout fait pour me protéger de cette tentation. Et, afin de ne pas reproduire une formule à succès, j’ai même arrêté d’aller au cinéma pendant de longues années. Je ne voulais pas être perméable à qui que ce soit. Pourriez-vous jouer quelqu’un de très différent de vous ? J’ai joué un capitaine de sous-marin russe dans “K-19. Le piège des profondeurs”. J’ai incarné le recruteur de baseball Branch Rickey dans “42” [un film de Brian Helgeland pas sorti en France] qui a mis un terme à la ségrégation raciale dans ce sport. Je suis difficile à reconnaître [il sort son ­portable, farfouille et exhibe une photo de lui dans le rôle] car on m’a mis un faux ventre, on a rasé ma ligne de cheveux, transformé mes sourcils… Je choisis parfois des rôles différents de ce qu’on attend de moi. Mais je vais rarement contre la logique qui est de continuer à gagner ma vie. Savez-vous instinctivement ce qui vous convient ? On ne vous a jamais vu, disons, habillé en femme… Mais venez donc chez moi n’importe quel soir après 18 heures ! [Il rit.] Je ne peux pas jouer un personnage ­auquel je ne me sens pas lié émotionnellement. Je n’ai ­jamais voulu être un premier rôle ou un héros romantique. Je n’imaginais même pas avoir la moindre chance dans ce ­registre et cela m’est tombé dessus par hasard. J’ai toujours rêvé d’être un acteur de composition et, à ce stade de ma carrière, je peux relever certains défis, même risqués. Vous vous souciez de votre image ? Je m’en fiche totalement ! Cela ne m’intéresse pas d’être dans le “Harrison Ford business”. Je cherche avant tout les opportunités à ne pas manquer et les belles rencontres car j’évite de collaborer avec les gens que je n’aime pas. En fait, je suis sérieux quand je travaille, mais je ne me prends pas au sérieux. Vous vous amusez plus aujourd’hui qu’hier ? Bien plus ! Quand je portais le poids d’un film sur mes épaules, il me fallait être certain que le public s’identifiait au dur à cuire que j’incarnais, car le manque d’empathie se faisait au détriment du film. Ce fut le cas pour le personnage d’Allie Fox dans “Mosquito Coast” : le public m’a rejeté dans ce rôle déplaisant. Aujourd’hui, je ne suis plus prisonnier de ce genre de contrainte. "Je suis un artisan" Vos films sont parmi les plus gros succès de la planète. Etes-vous conscient de votre capital financier ? Oui, et mon comptable m’en est reconnaissant car j’ai un passe-temps assez onéreux : j’aime piloter mes propres ­avions. Je suis heureux d’apporter un budget à un film, et je fais en sorte d’être très bien payé pour ma contribution. Déjà, à l’époque où j’étais menuisier, j’exigeais d’être bien rémunéré pour mon travail. Vous êtes engagé pour la protection de l’environnement, auprès des sans-abri de Los Angeles, etc. C’est important de renvoyer l’ascenseur ? J’essaie de compenser la chance que j’ai eue. Mais je crois que c’est la responsabilité de chacun de redistribuer. Vous semblez très raisonnable pour quelqu’un qui vit dans un Hollywood un peu coupé des réalités… Je refuse d’entrer dans la catégorie des gens ­spéciaux. Je ne veux pas me considérer autrement que comme un artisan. En tant que démocrate, avez-vous réglé vos comptes sur le plateau de “Expendables 3” avec le républicain Arnold Schwarzenegger ? Non ! Quand il était gouverneur de Californie, il ­faisait une conférence annuelle sur l’environnement et il m’a demandé deux fois de venir faire le discours inaugural. Je ne le connaissais pas plus que ça, mais on s’est beaucoup amusés. J’avais uniquement des scènes avec Sylvester Stallone que je ne connaissais pas non plus, mais qui m’a impressionné par son talent. C’est un homme intelligent qui a bien mené sa barque, qui ­travaille dur et est très généreux avec ses partenaires. Vous exécutez toujours vos propres cascades ? Me lever le matin est une cascade, ces jours-ci ! La seule scène d’action me concernant se passait dans un ­hélicoptère… suspendu à un câble. Donc sans grand danger. Vous connaissez Agnès Varda depuis les années 1970. Est-ce que vous la voyez quand vous venez à Paris ? Souvent, oui. J’ai beaucoup d’affection pour toute la famille. A l’époque où Jacques Demy vivait à Los ­Angeles, il a été le premier réalisateur à croire en moi. Il voulait me confier le rôle principal de “Model Shop” et ça ne s’est pas fait car les producteurs ne voulaient pas d’un inconnu. Mais je lui en ai été reconnaissant à tout jamais. Pensez-vous que le public vous aime mieux que vos pairs qui ne vous ont jamais donné un Oscar ? Je n’y pense pas. Je sors peu. Je ne fréquente pas la société du spectacle. Je cherche le respect des gens avec qui je travaille et je n’attends rien de plus. J’ai eu une vie formidable. Tout ce que je demande, c’est que ça continue. Vous n’envisagez pas d’arrêter de tourner ? La retraite, c’est pour les vieux et j’adore ce que je fais. Tant qu’il y aura de bons rôles, je veux en être. Et je suis preneur de nouveaux défis ! La bande-annonce de «La Stratégie Ender»

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