"Url_de_la_musique.mid"https://youtu.be/lc8RFPZUkiQ MACGYVER

MACGYVER GÉNÉRIQUE

Tv Theme - macgyver theme.(macgyver tv theme) mp3

Tv Theme - macgyver theme.(macgyver tv theme) mp3

.

Le blog macgyver pour un blog qui bouge.

Translate

Messages les plus consultés

Rechercher dans ce blog

MACGYVER

Bienvenue sur le blog de angus stace macgyver, vous aures toutes les informations concernant notre héros de la série au film avec richard dean anderson et peut-étre avec les autres mémes ou d'autres nouveaux acteur, je travavaille aussi avec lee david zlotoff en correspondance avec le site de macgyver qui a était crée par rick createur du site macgyver la série et le film bonne divertissement a tous et merci de visiter le blog.

dimanche 7 avril 2013


http://elephant.canoe.ca
 
 
Click here to find out more!
Agence QMI
42 - Harrison Ford assure son premier rôle non fictif à 70 ans
Photo Warner Bros. Canada
Harrison Ford

42

Harrison Ford assure son premier rôle non fictif à 70 ans

Michael Rechtshaffen
06-04-2013 | 04h00
LOS ANGELES – Lorsqu’on voit Harrison Ford apparaître pour la première fois dans 42, il est quasi méconnaissable. C’est que le personnage de Branch Rickey, le directeur général des Dodgers de Brooklyn qui a fait sauter les conventions racistes en signant Jackie Robinson en 1947, ne ressemble en rien aux rôles typiques que joue habituellement l’acteur.
Et c’est précisément l’effet désiré. «Ça n’aurait pas du tout rendu service au film, que le public se réveille en plein milieu de cette histoire sur Jackie Robinson en se disant : «Mais qu’est-ce que ce putain d’Harrison fout là?» Je ne voulais pas que le genre de personnages que j’ai joués interfère dans l’histoire de Jackie Robinson.»
Pour faciliter le processus, Harrison Ford s’est rasé les cheveux afin de pouvoir porter une perruque. Il a également masqué la cicatrice qu’il a au menton et revêtu un costume grossissant – sa propre idée – afin de transformer sa démarche. Finalement, il a trouvé le moyen d’imiter le timbre de voix et les manies de Branch Rickey.
Lors d’une conférence de presse tenue en présence du réalisateur Brian Helgeland et de Chadwick Boseman, le biographe de Jackie Robinson, Harrison Ford a évoqué ce changement de cap avec humour.

La raison principale pour laquelle il a accepté de tenir le rôle d’un personnage non fictif pour la première fois de sa carrière? La rare opportunité de pouvoir jouer, au vénérable âge de 70 ans, quelqu’un de plus jeune, a lancé l’acteur à la blague, puisque lorsque le film s’amorce, Branch Rickey est âgé de 65 ans.
Mais maintenant, dans l’intimité d’une collection privée sur le baseball américain merveilleusement bien préservée et logée dans un bâtiment d’un secteur industriel du centre-ville de Los Angeles, l’acteur y va d’une réponse beaucoup plus sérieuse.
«Ce qui m’a été offert, c’est un environnement émotionnellement riche dans lequel travailler, ceci incluant des acteurs de grands talents, a expliqué Harrison Ford. C’est très important en tant qu’humain, mais aussi en tant que nation, de démontrer une sensibilité envers le fait que nous avons connu des moments difficiles au cours de notre histoire et que certaines des brèches n’ont que temporairement été colmatées et doivent toujours être refermées pour de bon.»
Ayant grandi à Chicago au cours des années 40 et 50, durant la même période ou Jackie Robinson changeait le cours de l’histoire du baseball, Harrison Ford admet qu’il n’avait à l’époque que très peu conscience de la ségrégation qui divisait alors le pays.
«Mes parents étaient très libéraux, de vrais démocrates. La justice sociale était donc très importante pour eux, a raconté l’acteur. Je ne les ai jamais vus adopter de comportements racistes me signifiant qu’il y avait une quelconque différence entre les gens en raison de la couleur de leur peau ou du milieu dont ils sont issus.»
Ce n’est que plus tard, lorsque j’ai commencé à fréquenter la bibliothèque municipale et à lire des livres sur Lincoln, Jefferson et Washington que j’ai compris comment avait été bâti notre pays, a-t-il ajouté.
«C’est le fait de lire sur Lincoln et de constater la puissance des gestes qu’il a posés pour mettre fin à l’esclavage qui m’a fait réfléchir pour la première fois au sujet des injustices sociales, et ce, même s’il ne s’agissait que d’un livre pour enfant sans grande profondeur.»
Depuis qu’il a joué dans 42, un film que Harrison Ford a qualifié de «fantastique opportunité», sa carrière connaît certainement un regain, surtout après quelques films douteux comme Mesures extraordinaires, La gloire des ondes et Cowboys et aliens.


En attendant de savoir s’il sera du prochain tome de la saga Star Wars, Harrison Ford tourne dans une autre suite grandement attendue par le public. Non, ce n’est pas Indiana Jones. On parle plutôt de Présentateur vedette : la légende se poursuit.
Il a également plusieurs autres projets dans le collimateur, dont l’aventure fantastique Ender’s Game, un film précédé d’un engouement certain, tout comme le suspense Paranoïa. Les deux longs métrages devraient se trouver sur les écrans québécois au cours de l’automne prochain.
Même si ses petites bajoues sont un peu plus prononcées qu’il y a quelques années, Harrison Ford, dont les cheveux sont aussi de plus en plus grisonnants, affiche toujours une fière allure de vedette du cinéma. N’allez cependant pas lui demander comment il réagit lorsqu’on le qualifie d’icône, après toutes ces années…
«Je réagis plus ou moins bien, a-t-il admis, ayant soudainement l’air inconfortable dans sa chaise. J’espère que les gens me considèrent comme un membre de l’équipe. Nous faisons tous le même travail et nous le faisons ensemble. Je ne crois pas que ce soit utile de me percevoir différemment des autres acteurs.» Ça, c’est de l’esprit d’équipe.

UNE ICÔNE RÉTICENTE

Pour un acteur qui est réticent à ce qu’on le qualifie d’icône, Harrison Ford a certainement joué plus d’un personnage iconique au grand écran. Voici les cinq plus notables :
— Han Solo (introduit en 1977 dans Star Wars épisode IV : un nouvel espoir) : Décrit par Georges Lucas comme «un solitaire qui réalise l’importance de faire partie d’un groupe et de travailler au bien commun» et par Harrison Ford lui-même comme «un petit malin», Han Solo est l’un des antihéros les plus cool du cinéma, surtout avec Chewbacca comme copilote.
— Indiana Jones (introduit en 1981 dans Les aventuriers de l’arche perdue) : Le Dr Henry Watson est peut-être un intello, mais lorsqu’il met le nez en dehors de la bibliothèque et qu’il se métamorphose en Indiana Jones, son fouet et son chapeau en font un héros dans le coup.
— Rick Deckard dans Blade Runner en 1982 : Le portrait que dépeint Harrison Ford de ce policier de Los Angeles chasseur d’androïdes a reçu le sceau d’approbation personnel de Philip K. Dick, l’auteur du livre qui a inspiré ce film culte de science-fiction. Il a dit de Ford qu’il avait livré un «Deckard absolument authentique».
— John Book dans Witness en 1985 : Dans le rôle d’un policier endurci de la grande ville qui se retrouve dans une communauté amish, Harrison Ford livre une interprétation profonde et sensible qui lui a valu de nombreux éloges ainsi que sa seule nomination aux Oscars jusqu’à maintenant.
— Président James Marshall dans Air Force One en 1997 : Harrison Ford se glisse dans la peau du président des États-Unis qui, après un discours controversé lors d’un dîné à Moscou, se fait prendre en otage dans son avion Air Force One. L’interprétation sans faille de Ford contribue grandement à faire oublier les nombreux clichés qui parsèment le film.

Aucun commentaire :